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Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt]Alexander Robinson [NO-486]
Votre personnage Âge: 26 ans Langue maternelle: Anglais Langue(s) apprise(s): Russe
| Sujet: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Dim 8 Juin 2014 - 19:06 | |
| Vous connaissez peut-être l'effet d'être réveillé brutalement? Oui? Parfait! Multipliez cela par... Disons 9 000 et vous obtiendrez la situation d'Alexander Robinson.
Alexander ne savait pas ce qui le gênait le plus, le bruit à s'en éclater les tympans ou la fabuleuse nausée qu'il avait. Il avait l'impression que son crâne était réduit en compote et il n'arrivait pas à se repérer. Son cerveau, paniqué, n'arrivait pas à analyser toutes ces informations qui fusaient de toutes parts. Il plongea dans une sorte de transe où il ne sentait plus rien, ne voyait plus rien et n'entendait plus rien, il avait même arrêté de penser. Quand le bruit s'apaisa, ses sensations lui revinrent, il eut l'impression de souffrir encore plus qu'à son réveil, comme après une gueule de bois carabinée. Il bougea à grand renfort de volonté son bras sur la surface lisse sur laquelle il reposait, où était-il? Pas dans un lit en tout cas, la matière était froide et dure.
Il n'y avait pas beaucoup de lumière, si bien qu'il ne voyait pas grand chose excepté quelques lumières rouges. Il bougea lentement ses membres ankylosés pour essayer de sortir de cet endroit mais plus il bougeait, plus ses nausées s'amplifiaient. Soudain, il se rendit compte que le bruit ne s'était pas juste apaisé, mais qu'il avait totalement disparu, il régnait dans la pièce un calme lugubre, il pouvait seulement percevoir quelques respirations et mouvements étouffés près de lui. Une voix robotique mais douce le fit sursauter, aggravant ses douleurs, car il ne s'attendait pas à entendre quoi que ce soit à part ce silence. Il écouta attentivement cette voix comme si ces informations étaient vitales. Il était donc sorti de cryogénie? Comment... Il essaya de se relever brusquement pour voir autour de lui, observer, comprendre, sans prendre en considération ses douleurs. Grosse erreur, il eut l'impression que sa tête allait exploser tellement les vertiges étaient forts, il avait du mal à rester en position assise et dût serrer sa tête entre ses mains pour ne pas replonger dans l'inconscience. Plusieurs minutes, une fois que le mal fût passé, il regarda timidement autour de lui, déjà épuisé. D'autres "lits" étaient également dans la salle.
Il essaya de descendre du sien avec grande peine et avec de grandes précautions mais il avait l'impression que la tâche était bien trop difficile.
Dernière édition par Alexander Robinson le Jeu 19 Juin 2014 - 11:51, édité 4 fois |
| | | James Lenington [FY-159]
Votre personnage Âge: 34 ans Langue maternelle: Anglais Langue(s) apprise(s): Aucune
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Dim 8 Juin 2014 - 20:57 | |
| Comme la plupart des personnes qui ont du supporter cette étape avant lui, James eu son lot de gémissement, vomissement, courbature et migraine. Ramassé sur lui même en position fœtal sur ce doux matelas de métal glauque James inspira profondément à plusieurs reprises tentant avec plus ou moins de succès de trouver le calme intérieur. Il essuya alors avec faiblesses les dernières traces de ce liquide verdâtre qui avait dût s’installer dans ses poumons et prêta l'oreille au message de l'I.A.
La pénombre régna un instant puis fut peu à peu remplacée par de faiblardes lueurs bleutées. La pièce semblait prendre vie au même rythme que la lumière et en douceur la luminosité se faisait plus percutante. Sans aucun doute étudiée pour le réveil. L'espace de la pièce était presque entièrement occupé par des plateformes métalliques, accueillant le même genre de caisson que celui dont il s'extirpa péniblement. Avec lui, arrivé apparemment quelques instant plus tard se trouvait un autre jeune homme. Son teint blafard et sa mine décrépite devait être un bon reflet de sa propre apparence aucun besoin d'un miroir pour le savoir. Il se sentait aussi lessivé que s'il venait de passer sous un train.
Assis contre son caisson James observa perplexe la pièce. Une double porte automatique, des appareillages, des "lits", des caissons, un bras robotique qui en ce moment même approchait de lui sans doute pour récupérer la capsule mais l'homme ne put réprimer un écart dut à la peur. Il se releva donc, bien que péniblement et assista à la manœuvre d'extraction. Gestes précis. Mécanique. Inhumain. Où était donc ses semblables ? La pièce comportait aussi un bureau n'est ce pas ? Où était l'équipe sensée veiller sur eux ? Il essaya de prononcer quelques mots qui restèrent bloquer au fond de sa gorge et réprimant une quinte de toux parvint finalement à parler.
- On devrait peu-être sortir comme elle l'a dit ? Tu te souviens de quoi que ce soit ?
Il s'approcha pour lui tendre la main et l'aider à se remettre sur pied. Les blouses qu'ils portaient tout deux n'étaient ni confortable ni agréable et à vrai dire leur seule utilité était de protéger une pudeur toute relative. La seule pensée qui lui vint à ce moment là fut de se dégoter le plus rapidement possible un froc...
Dernière édition par James Lenington le Mer 18 Juin 2014 - 12:12, édité 2 fois |
| | | Renshu Tian [DV-117]
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Mar 10 Juin 2014 - 18:45 | |
| J'entendis ce qui me semblait être une voix au loin, distante et insaisissable. Elle sonnait bizarre, un peu comme si elle n'était pas vraiment humaine. Peut-être une IA. C'est bizarre, elle me semblait loin, et pourtant c'était la seule chose que j'entendais. Et encore, il fallait que j'arrive à comprendre ce qu'elle disait. Malgré tous mes efforts, je ne comprenait absolument rien à ce qu'elle disait. Je me sentais un peu serré ici. D'ailleurs, où est-ce que je me trouvais? J'avais beau essayer de m'en rappeler, je n'avais aucune idée de l'endroit où je pouvais bien être. J'essayais alors de bouger mon bras dans L,espoir d'atteindre quelque chose. Je ne sais pas quoi, mais j'essayais, c'est tout. Je n'aurais jamais pensé que bouger ses articulations puissent être aussi douloureux, sans compter que je n'avait presque pas d'espace. Au mieux, je me retrouvais accoté sur une paroi.
La fameuse paroi sur laquelle j,étais douloureusement accoté s'ouvrit d'un seul coup, me laissant tomber vers quelque chose de solide. J'essayais rapidement d’atténuer ma chute en tentant de me protéger avec mes bras. Rapidement, je me retrouvais à quatre pattes sur une surface lisse et métallique. Mon premier réflexe fut de vomir. J'étais tout simplement trop désorienté pour être capable de faire quoi que ce soit d'autre. J'avais l'impression d'avoir passé le pire moment de ma vie et de finalement pouvoir me lâcher. Après une bonne minute, j'essayai d'ouvrir les yeux. Autours de moi, je ne voyais que des ombres et des formes floues. C'était vraiment étrange.
En m'appuyant sur le caisson d'où je venais de sortir (ou du moins cela ressemblait à un caisson), essayant de me mettre sur mes deux jambes. Je n'arrivais pas à croire à quel point mes articulations étaient engourdis. Je réussis péniblement à me mettre debout, mais à la seconde où je voulus enlever mon appui, je commençai à vaciller. Semblerait que je ne soit pas encore tout à fait apte à bouger sans m'appuyer sur quelque chose. Le on côté des choses étaient que ma vision était enfin de retour. Enfin, j'avais de la difficulté à savoir si c'était vraiment le cas tellement il faisait sombre. Il me fallut deux bonnes minutes pour m'adapter à la luminosité, minutes durant lesquelles je me suis déplacé en m'appuyant sur ce que je pouvais. Avec ma vision claire et nette me vint en quelques temps mon sens de l'équilibre, ce qui me permit de me déplacer sans avoir à tout le temps m'appuyer.
Maintenant que j'étais fonctionnel, je commençais à me poser des questions. Qu'est-ce que je faisais ici? Et où est-ce que j'étais bon sang. C'était stressant de ne pas savoir dans quelle situation je me retrouvais. Ma main commença à se déplacer par réflexe, cherchant quelque chose sur ma blouse blanche, seul vêtement que je semblais posséder. Je n'avais aucune idée de ce dont je semblais désespérément avoir besoin, mais je ne l'avais pas sur moi. Faute de l'avoir, il fallait que je continue à avancer. Je finirais probablement par trouver ce que je cherchais après tout.
Après une dizaine de minutes, je finis par apercevoir deux personnes en blouses. L,un d'entre eux tendait sa main à l'autre, probablement pour l'aider. À les voir, je me sentis étonnement méfiant, préférant de base ne pas les approcher. Qu'est-ce qui me disait qu'ils n'étaient pas agressifs? En même temps, ils semblaient dans l'exact même situation que moi. J'eus alors un léger malaise, probablement à cause que mon corps n'était pas encore tout à fait rétablit. Alors que je m'appuyai sur le rebord d'un caisson pour ne pas tomber, je leur fit signe en disant simplement :
-Hé... |
| | | Luciano Rievra [RI-129]
Votre personnage Âge: 20 ans Langue maternelle: Italien Langue(s) apprise(s): Anglais
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Mer 11 Juin 2014 - 9:38 | |
| Ma respiration était lente, longue, faible. Une longue plainte s'échappa entre deux, un faible gémissement qui traduisait ma douleur, j'avais si mal. Mon pauvre corps était ankylosé et je n'avais pas encore ouvert les yeux, ne voulant pas voir dans quel état je suis. Les bruits se firent sourds, de lointain murmure venant des ténèbres, c'était une sensation bizarre, j'avais l'impression d'être dans une bull et qu'aucun son cohérent ne parvient à mes oreilles. Seul un son était plus que distingue : un long bruit aigu qui perce mes pauvres tympans. J'ouvris brusquement les yeux pour ensuite les refermer, pris d'un mal de tête insupportable. Doucement, les ouvrit et je vis flou et la vue revient petit à petit, tout était sombre, éclairé par d'étranges lumières rouges et puis les bruits se firent nets. Je gémissais, mon corps ne répondait plus durant un court instant, petit à petit, je retrouve mes sens et je pouvais difficilement bougeais mes bras et mes jambes et puis une voix retentit, mais je ne compris pas tout totalement. Dans un grand effort, je me redresse et regardai autour de moi, une salle, avec d'autre lits, lieu que je ne reconnus aucunement, je regardais mes mains, puis mes bras et vis que je portais une sorte de blouse blanche. Mais où je suis ? Je n'avais plus aucun souvenir, de rien, je me souviens de rien. Je fus pris de panique et réprime un haut-le-cœur, il fallait que je me calme et trouver d'autres personnes comme moi. Peut-être avec un peu de chance il y aura quelqu'un d'autre. Doucement, mais sûrement, je posais mes deux pieds parterre, le sol était froid, en prenant appui, je me levais difficilement. Mes jambes tremblaient de plus belle, je décidai de jouer avec le feu, je lâche prise, je fus pris de vertige et le sol se déroba sous mes jambes. Je tombai, mon visage se crispa et je laisse échapper un gémissement de plus. Le sang tapait dans mes tympans, un mal de crâne apparut et les sons se firent un instant sourd et puis tout revient à la normale. Avant de retenter, je restai allongé un instant sur le sol froid et dur, regardant le plafond et puis doucement, je me relevai, cette fois-ci, j'avançais en gardant toujours un appui stable. Mes pas étaient lourds, hésitants, lents, je sortais de cette salle et continuai mon avancée, je m'arrêtai parfois pour reprendre mon souffle, ou bien pour calmer un vertige et puis au loin, je vis trois autres personnes. Je soupirai de soulagement, je n'étais pas seul. Je m'approchai d'eux. |
| | | Cassiopée James [CJ-841]
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Mer 11 Juin 2014 - 14:31 | |
| Un vacarme, assourdissant, violent comme une avalanche de coups, une sirène hurlant sa haine de la vie par ses plaintes stridentes de stryge. Le traumatisme de la naissance, lorsqu'on quitte un monde chaud, sombre et silencieux, pour un univers saturé de sons agressifs, de lumières violentes, de sensations insupportables. Mais cette fois, je suis consciente. Consciente de ce réveil brutal, consciente d'être déjà née, bien que j'en ai occulté tout souvenir. Conscience de moi en temps que... Moi. Aucun nom ne me vient, ni la moindre idée de qui je suis. Je sais la différence entre homme et femme, et pourtant, je ne saurai dire si je suis de l'un ou l'autre sexe. Je connais les différents âges de la vie, sans pouvoir me situer parmi ceci. Suis-je une enfant encore coiffée de nattes ou bien un vieillard sénile qui perd l'esprit ? Je ne sais pas. Alors je lève une main, tremblante et sans force, et ce simple mouvement me provoque des piques de douleurs qui paraissent partir de mes doigts, ravager le moindre de mes muscles, chacune de mes articulations, pour venir ensuite se répandre dans mon dos, comme une branche d'épines qui troublerait la surface d'une mare paisible. Et il me semble que cette douleur, cette faiblesse, peuvent aussi bien naître d'un âge trop ancien que trop jeune. Mais ces doigts raidis par la souffrance, je peux néanmoins les forcer à escalader mon flanc, a priori mince et ferme, jusqu'à mon torse, où se dessinent deux rondeurs féminines. Je suis femme, donc, et adulte, mais jeune encore. C'est en effleurant mes paupières que je réalise que mes yeux sont encore fermés. Mais cette conscience disparait soudain, balayée par une soudaine douleur qui me traverse le crâne. Mes peines précédentes n'étaient que vaguelettes sur une flaque, alors que ce qui me broie la tête est une lame de fond, qui réduit mon cerveau à l'état de pulpe palpitante, force mon cœur contre mes dents serrées à en briser l'émail, et torde mon estomac telle une poigne féroce. Lâchant un gémissement douloureux, qui me parait une nouvelle entaille à mon corps souffreteux, je parviens à rouler sur le côté au moment même où de violents hoquets me secouent, chacun envoyant sa bordée de douleur au travers du vaisseau de mon corps. Mais je ne crache qu'un peu de bile, comme si mon estomac était totalement vide. Ce ne m'est cependant qu'un piètre soulagement, alors que je peine à reprendre mon souffle. Je n'ai toujours pas ouvert les yeux.
Mais d'autres bruits résonnent, et un instinct de survie animal me pousse à me plaquer contre la surface sur laquelle je repose, et à regarder. Explosion de douleur, impression de regarder dans les yeux une lumière nucléaire. Je bats des paupières, et la brûlure lumineuse se révèle n'être que pénombre, obscurité semée de diodes colorées, au sein de laquelle se devinent plusieurs silhouettes sombres. Puis des voix se font entendre, masculines, de vagues salutations. Je pourrais décider de demeurer cachée, les hommes ne semblent pas en état de me chercher, mais j'ignore qui je suis, où je me trouve... Alors je prends appui sur les mains pour me redresser, et j'ai l'impression de tenter de m'extraire d'une gangue collante qui m'attire vers le bas. Je parviens toutefois à laisser mes jambes nues glisser vers le sol, que je sens sous mes orteils. Mais un vertige me saisit soudain, rendant à la pièce une obscurité primordiale, tandis qu'il me semble que mon perchoir tangue et vacille comme un ballon pris dans une tempête. Il s'apaise néanmoins, et lorsque des ténèbres il ne reste que des papillons dansants, je me hisse à la station debout. Les lépidoptères deviennent nuée de corneilles, et je tombe à genoux, douloureusement. Un hoquet de souffrance m'échappe, avant que je ne parvienne à me relever, usant de ce qui fut ma couchette comme d'un appui.
"Où... Où sommes-nous ?"
Ma voix me parait un aboiement rauque, totalement étrangère, mais ne le suis-je pas à moi-même ? Peut-être ce sommeil dont je m'éveille est-il la cause de mon timbre, ou bien est-il toujours ainsi, je serai bien incapable de le dire. En revanche, il me parait impossible de nier la frustration que fait naître en moi cette situation, et tout particulièrement le fait d'être ainsi en position de faiblesse devant ces hommes inconnus, à peine capable de tenir debout, vêtue d'une blouse informe, trop large, qui flotte autour de mon corps et jusqu'à mes mollets... |
| | | Alexander Robinson [NO-486]
Votre personnage Âge: 26 ans Langue maternelle: Anglais Langue(s) apprise(s): Russe
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Lun 16 Juin 2014 - 13:19 | |
| Une main tendue l'aida à se lever et à descendre de la surface, il voulait le remercier mais aucun son ne pouvait sortir de sa bouche et il fut pris d'une quinte de toux. Ses jambes tremblaient mais il pouvait néanmoins se tenir debout sans tomber. Il observa les alentours sans prêter attention à l'individu qui l'avait aidé. Une salle métallique, froide et propre, de nombreux caissons parfaitement alignés sur des plateformes, rien qui aurait pu trahir un quelconque indice d'où il fallait aller et d'où ils étaient. Il y avait bien des lignes de couleurs qu'il pouvait voir dans le couloir, mais rien d'autres.
Autour de lui, quelques personnes étaient déjà sorties, par terre où à moitié debout. Il entendait bien des mots sortir de leurs bouches mais il n'arrivait pas à les interpréter pour certains. Il détailla cette fois l'homme qui l'avait aidé et sur lequel il s'appuyait. Il n'aurait su lui donner un âge mais il avait l'air de vouloir l'aider, c'était tout ce qui comptait.
Puis vint la question fatidique sur les souvenirs et il fût incapable de répondre. Depuis son réveil, il s'était seulement concentré sur ce qui lui arrivait actuellement et pas sur ce qui lui était arrivé, l'esprit encore confus, il ne sut quoi répondre et articula quelques syllabes sans pour autant formuler des mots. Il ne savait pas, il ne se souvenait plus de rien et cela le terrifiait. Le souvenir le plus lointain qu'il possédait était son réveil il y a de ça quelques minutes. Il parvînt à la fin à articuler une phrase entière.
-Je... Je ne sais... Pas
Ce qui était vrai sur toute la ligne, il ne savait pas si il fallait sortir, il ne savait pas où ils étaient et qui il était, il ne savait plus rien. Il sentit un mal de tête démarrer. Le jeune homme regarda à nouveau les autres personnes et l'homme l'ayant aidé, il était perdu et ne comprenait pas pourquoi ils étaient ici. Ici, maintenant, tout de suite, il avait envie de fuir cet endroit, il ne trouvais pas d'intérêt à aider les autres personnes ou à les comprendre, seul sortir comptait pour lui. Ce désir s'était imposé comme un but, un objectif. Il voulait sortir d'ici.
-Sortons d'ici...
Ignorant complètement ses autres camarades réclamant de l'aide, il commença à se diriger lentement et difficilement vers la sortie.
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| | | Matt Horner [MA-001]
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Mer 18 Juin 2014 - 13:41 | |
| De la lumière, du noir, de la lumière jaune, du noir, de la lumière rouge, du noir. Les paupières de Matt s'ouvraient et se fermer laissant ses pupilles arriver enfin à s'habituer à la lumière artificielle. De sous son corps seul ses yeux répondaient, puis vint le tour des oreilles, partant d'un petit sifflement. Il fut transformé en rugissement atroce, ferme les yeux pour essayer de l'atténuer, elle remarqua rapidement que c'était loin d'être une réussite. Après un long moment, elle réussit enfin à déposer ses mains sur ses oreilles. Elle avala lentement sa salive commencent à ressentir les parties de son corps se réveiller. Elle continuait de sentir son corps se réveiller, d'abord de petit picotement partout puis une sensation. Une sensation de froid, une sensation de froid lui perçait la peau et lui glaçait le sang. Une voix par-dessus les bruits assourdissante se fit entendre. « Que dit cette voix ? » Elle sursauta, elle n'arrivait pas à parler. « Pourquoi je n'y arrive pas ? » Ouvrant la bouche aucun son ne sortait. Arrivant à se mettre assis elle fit pivoter sur le bord de son « lit » elle ne voyait que des flashs de lumières, plus particulièrement un flash rouge. Elle avait tendu une main tremblante vers cette lumière mais rien y fait son corps ne voulait pas bouger. Elle attendait que ses jambes soit moins engourdi mais avant de pouvoir faire le moindre mouvement une nouvelle sensation apparut. » Son entre-jambe semblait palpiter tel un cœur battant, elle ne comprenait pas cette sensation et dut attendre quelle que minutes que cette sensation s'atténue. « Qu'est-ce que ? » Son entre-jambe semblait palpiter tel un cœur battant, elle ne comprenait pas cette sensation et dut attendre quelle que minutes que cette sensation s'atténue. Elle un pied par sûr contre le sol puis rapidement suivit de l'autre. Voyant qu'elle ne pourrait pas tenir que sur ses deux jambes elle ajouta la force de ses bras pour avancer vers la lumière. Elle se sentait faible et malgré sa volonté d'avancer plus vite ses jambes allaient à une allure d'escargot. Sa blouse bien trop grande pour elle et qui laissait entrevoir une partie de son corps la gênait dans ses mouvements de bras. Elle put apercevoir une ombre avancer, celle-ci semblait aussi avoir du mal. Elle hésité à l'appeler mais cette ombre semblait douée de parole et venait de saluer. Qui ? D'autres personnes étaient présentes ? Malgré ses essaye elle n'arrivait pas à parler. En continuant d'avancer elle vit deux autres ombres. - Sa ... Sa ...Elle n'arrivait pas à dire le mot en entier. Pour une raison qu'elle ne comprenait pas, son corps continuait à la bruler, il voulait avancer mais Matt manqué de tomber plusieurs fois à la suite. - Spoiler:
Merci de m’accueillir dans votre RP
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| | | James Lenington [FY-159]
Votre personnage Âge: 34 ans Langue maternelle: Anglais Langue(s) apprise(s): Aucune
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Mer 25 Juin 2014 - 11:46 | |
| Des faignants ensommeillés. Des capsules. Des gens à moiter à poil et plus de capsule encore. Ils en étaient arrivés à six personnes. Tous aussi atteint les uns que les autres par ce mal du réveil. Que de mine déconfite, de muscle atrophiés et d’expression perdue pour ces hommes et femmes. La plupart tentèrent de parler, pas pour de longs discours mais juste quelques mots, comme pour faire comprendre aux autres qu'ils étaient là. En vie et seuls entre ces murs.
De tous ceux présents il n'en compris qu'une petite partie le reste d'entre eux pouvait être encore incapable de s'exprimer à cause de leurs cryogénisation. Les questions devaient être remise au lendemain. Pour le moment il désirait plus que tout quitter cet endroit, se procurer des vêtements chauds et avaler quelque chose. Son estomac grognait à longueur de temps. L'homme agrippa l'épaule de son premier compagnon de réveil et hocha la tête en le regardant dans les yeux. Ce dernier avait déjà commencée a se diriger vers la seule porte de la pièce.
- Allons-y ! De toute façon ça à l'air d'être la seule chose à faire.
Il jeta un regard derrière son épaule et doubla le premier éveillé -toujours aussi mal en point- en direction du petit panel de commande. Tripota un bouton et permis à la double porte de métal de s'ouvrir en une gueule béante sur un couloir. Il franchit le pas de la porte en même temps que le jeune homme et ne se retourna plus. l'aidant au mieux dans sa marche saccadée.
- Hrp:
Désolé du temps que ca à pris et de la qualité du post, amusez vous ca devrait le faire maintenant xD Ps : J'ai l'accord d'Alexander donc ceci équivaut à sa sortie du rp par la même occasion.
Edit : Ah et je m'excuse c'est ma seconde réponse, la première a été tuée atrocement par ma connexion. Voilà juste histoire de donner une raison. |
| | | Luciano Rievra [RI-129]
Votre personnage Âge: 20 ans Langue maternelle: Italien Langue(s) apprise(s): Anglais
| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] Lun 7 Juil 2014 - 17:34 | |
| Rien, le vide, le flou, rien, j'ai beau me concentrer, rien, aucun souvenir, j'avais l'impression que mon histoire venait de commencer réellement, chose qui était relativement impossible, elle ne pouvait commencer là maintenant. Je ne savais plus rien de moi, ni mon nom, ni mon métier, ni mon âge. Je savais simplement que j'étais un homme, mais là, je ne savais plus à quoi je ressemblais. Je soupirai et écoutai les autres, toujours les mêmes questions : Où somme nous ?
Ouais, Où sommes-nous ? Déjà, en regardant plus la pièce, on pouvait croire qu'on était dans une sorte de chambre, je me retourne vers eux. Deux personnes décidèrent de sortir, n'est-ce pas un peu trop précipiter ? Ne fallait-il pas mieux attendre encore un peu ? Je regarde les gens autour de moi qui semblais approuver, ils n'avaient pas tord, pour ma part, si je veux des réponses, je les trouverais aucunement ici.
- Sa ... Sa ...
Je me retournai, intrigué et je vis une jeune femme marchant difficilement, je m'approchai d'elle et l'aidai, quand je reporte mon intention vers les autres, je vis qu'ils sortaient. Regardant la jeune femme, je lui fis un sourire qui se voulait rassurant, lui disant qu'on allait sortir à notre tour. HRP : Je suis désolé de sauter un tour T.T, mais c'est également un sorti de Rp pour moi et pour Matt |
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| Sujet: Re: Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] | |
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| | | | Le réveil le plus doux du monde [PV: James, Luciano, Renshu, Cassiopée, Matt] | |
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