Votre personnage Âge: 20 ans Langue maternelle: Italien Langue(s) apprise(s): Anglais
Sujet: We are not two... We are one Mar 8 Juil 2014 - 12:47
We are not two... We are one
La jeune femme arrivait désormer à marchait seule, même si elle prenait parfois appuie sur mon épaule, on sorta de la salle de réveille et on s'arrêta, je regardais la jeune femme et les deux couloir qui s'offraient à nous. Pars quoi commencer ? Je soupira et elle proposa de se séparait. Je n'étais pas totalement rassuré d'être séparé, ne voulant pas me trouver seul ou bien la laisser seule. J'hésitais, mais je finis pas accepter, lentement, elle s'éloigna, prenant le couloir de gauche. Je fis de même prenant celui de droite, mais je fis seulement quelque pas avant d'entendre un bruit suspect. Je m'arrêta et écouta, le bruit se répéta plusieurs fois, c'étais comme si une personne frapper sur quelque chose.
Je me retourne vers une porte en métal et entra lentement, prudemment, je m’avance dans la pièce et m'arrêta soudainement à la vue de toutes ces capsule remplit d'eau ou dans chacune d'elles, une personne s'y trouva. Encore endormit. C'était une salle sombre et si froide, les petites lumières éclairé le lieu faiblement, je continue mon chemin à travers ses capsules dont la plus part était déjà vide. Etais-je dans l'une d'elle ? Probablement...
- Mais qu'est ce que.... Dis-je intrigué.
Le bruit revient et je vis avec effroi une personnes réveille, ne pouvant pas sortir d'une des capsules, frappant désespérément contre la paroi, je courrais vers cette capsule et essaya de l'ouvrit.
Votre personnage Âge: 20 ans Langue maternelle: Italien Langue(s) apprise(s): anglais
Sujet: Re: We are not two... We are one Jeu 10 Juil 2014 - 14:35
We are not two,We are one
Feat Luciano ; Lieu: Entrepôt à capsules
le vide,
je dormais, sans doute, un sommeil comparable à la mort, douce et froide. le vide, le néant, bref rien ne pouvait entraver mon doux rêve, un rêve dans lequel il n'y a ni cauchemars ni féeries. Depuis combien de temps suis-je ici? Je me posai la question sans trop vouloir connaître la réponse, tant que je pouvais continuer a "dormir" le reste m'importe peu. un bruit se fit entendre, un bruit qui se transforma en des cris, des cris de paniques mêlaient au son d'une alarme stridente. Les paupières de mes yeux s'ouvrirent d'un coup sec, ne laissent pas a ma rétine le temps de s'habituer, la brûlant légèrement au passage, je laisse un cri de douleur s'échapper de ma bouche qui s'estompa dans l'eau où j'étais encore prisonnier. Les paumes de mes mains se frottaient contre mes yeux endoloris, ma tête aussi me faisait atrocement mal, je me l'a frapperai contre un mur ça ferait le même effet.
j'étais resté là immobile sans aucune raison valable, ne voulant pas participer à cette panique générale. Je passa ma tête quelque seconde hors de l'eau par curiosité pour contempler les alentours, qu'elle ne fut pas mon erreur, aussitôt que mes oreilles furent sortie de l'eau que le brouhaha alentour doubla mon mal de crane, je me remis aussitôt dans ma position initiale.
Les bras de Morphée m'avait quitté trop tôt pour ensuite me larguer dans ce monde horrible qu'était le mien.
Bon récapitulons, je suis dans une sorte de tube remplit d'eau, je n'ose pas sortir car y a trop de bruit et aussi car je n'ai pas asse de force pour déplacer ma carcasse, et au faite, pourquoi je suis ici? Et je suis qui? sans doute mes questions étaient les mêmes que celles de tout les autres personnes se trouvant ici. Faut que j'arrête de réfléchir moi, sinon ma tête va finir par exploser.
un cliquetis résonna dans le tube où je me trouvais suivi de vibration, la vitre c'était fermé en quelques secondes, je n'avais pas eu le temps de me dégager de ma prison remplie d'eau, en parlant d'eau l'aire commençait à manquer, puisant dans mes faible resserve pour tambouriner la vitre qui me retenait prisonnier. Je viens juste de me réveiller que je vais mourir..... si c'est pas un comble ça.
j'aperçus un homme à l'extérieur, il courait vers moi, il essayait d'ouvrit la capsule, j'étais heureux de voir que les personnes ici pouvaient s'entraider. Son visage me disait quelque chose, j'aurai voulu lui poser une question du style: on ce connais ? Question stupide puisque nous n'avions plus notre mémoire et aussi car j'étais encore dans l'eau.
Codage par Bambi, parce que vous le valez bien ♫
Dernière édition par Alonzo Rievra le Ven 11 Juil 2014 - 16:04, édité 1 fois
Luciano Rievra[RI-129]
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Sujet: Re: We are not two... We are one Ven 11 Juil 2014 - 13:02
We are not two... We are one
Tout en tirant sur cette porte qui n'était pas décider à ouvrir, je regardais le jeune homme à l’intérieur... Pourquoi d'un coup j'ai cette impression de l'avoir déjà vu ? Je remarqua qu'il commençait à manquer d'air, désemparé et peur qu'il ne meurt, je tira de toute mes forces, visage crispé, les yeux fermaient, une douleur apparut le long de mes deux bras, mais je tira toujours, je lâcha un petit crie et réussit enfin à ouvrir cette foutu porte, je tombe en arrière et l'eau se renversa sur moi. Me relevant rapidement, j’attrapai le jeune homme avant qu'il ne tombe parterre. Il tremblait et reprenait difficilement son souffle, je savais si je le lâchais il allait tomber, je rester donc coller conter lui, je regardais les gouttes tomber des ses cheveux pour retomber sur ses épaules. Je le regardais, il portait la même blouse que moi, enfin, comme tout les gens d'ici au dirais. Je lui dit qu'on aller sortir d'ici et puis il gémissait, son visage se crispa, je savais pourquoi, moi même j'ai souffert au début. A peine quelque pas de fait et il se mit à vomir, instinctivement, je l'aidais à se pencher et le tenais pour pas qu'il tombe. Il tremblait de nouveau, respirant difficilement. Il toussa et se redressa, reprenant son souffle, pendant tout ce temps là j'ai observer son visage qui m'était étrangement familier et puis je vis non loin de nous une grande glace dont on pouvaient voir nos reflet. Nous avons les mêmes cheveux bruns, les mêmes yeux marrons, cette même mèche... Cette ressemblance était flagrante et je semblais choqué par tante de ressemblance. Mais qui était il ? J'étais trop surpris pour lui demander, aucun mot ne sort de ma bouche, regardant se miroir où je me voyais, lui contre lui. Mais qui était il ?